Retrouvant le sourir et leur âme pure
- Thomas Gozzoli / au Népal
Durant s’est deux derniers jours, il y a eu beaucoup d’événements et d’émotions de part et d’autres.
En se dimanche 14 juin 2015, Nous avons apporté du matériel scolaire a 2 villages qui ont été fortement touché par les tremblements de terre (du district de Nuwakot au Népal, se situant au nord ouest de Kathmandu) afin d’aider les enfants a retrouver espoir en l’école et l’éducation importante pour eux qu’elle apporte et une porte vers un avenir ou ils auront beaucoup plus de chance de décider et changer les choses par eux même.
Également nous leur donnons une distraction par notre présence et cette distribution orchestrée avec l’aide des directeurs et profs des écoles qui leur permet l’espace d’un instant d’oublier les derniers évènements tragiques et de retrouver le sourie et leur âme pure et innocente d’enfant dans un moment intemporelle ou uniquement l’instant présent au plus profond de la seconde qui s’écoule existe avec pour finir un regard vers l’avenir et un passé belle et bien derrière qui y restera.
Le matin a 7h30, prabesh et un de ses amis conducteurs sont passé me prendre en 4×4 dans thamel, jyatha road plus précisément à l’hôtel Utse (geré par des tibétains). Par la suite nous nous dirigeâmes vers le nord de Katmandu pour récupérer 2 autres amis bénévoles de prabesh et un contact qui viens d’un des villages de Nuwakot qui as fai remonter lui même l’infos que ses 2 villages ont été fortement touché et on besoin d’aide (au total nous étions 6)
La route fut mouvementé, j’ai pu découvrir plus en détail la conduite népalaise en route montagneuse plus précisément ou la règle de l’instinct et du Klaxon est la base de tout bon conducteur en quête de survit. (J’ai pas été gêné par cette dernière j’ai un peu tendance a faire de même en France).
Petit a petit les routes goudronnées se transforme en chemins de terre troué de partout. Bonne suspension et esquive de rigueur pour éviter les tassages lombaires.
A un moment nous avons passé un contrôle de sécurité quand on est entré dans le district de Nuwakot qui a été sans problème. Les militaires ont juste demandé combien on étai et ou on allai.
A 10 h on a mangé le dal-bath (plat national a base de riz, lentilles et pomme de terre). Et j’ai découvert que dans les petites enseignes locales on paye le même prix peut importe le nombre de fois qu’on se fait resservir. En parlant de service, superbe accueil avec le sourie du couple qui vous ressert a l’infini tan que vous ne dite pas stop. 100 roupies népalais par personne (même pas un 1 euro) et vous êtes rassasié pour la journée avec des produits locaux et de plus bon pour la santé d’après mes connaissances en diététique.
En suite sur la route nous avons récupéré un 7 eme passager qui est le beau père de notre contact qui viens également d’un de ses villages. (Ils nous attendais au bord de la route a l’embranchement qui nous mène a une petite montée en terre difficilement accessible pour les véhicules motorisés. Je comprend ici la nécessité du 4×4 et d’organiser ces missions rapidement avant la saison des moussons.
Malgré le beau temps et l’absence de boue tout les passagers on du descendre sauf le conducteur bien sur et moi même. Se fut sur 300 mètres une bonne partie de lutte, d’élan pour éviter de faire du sur place et de rally ensuite pour pas perdre cette élan. 1 a 2 km plus loin nous voilà arrivé au 1er village avec les premiers enfants qu’on avait croisé sur la route et qui nous suivaient en courant derrière.
Kalika Nimabi school, Belkot-6 Upallo Ti Gaun, Nuwakot :
Accueil très chaleureux, ils nous aident a sortir le matériel du 4×4 et nous invite a les suivre dans le village. On se fait remettre a chacun par le directeur de l’école et les profs un foulard tibétain blanc et un collier de fleurs rose (2 donations en signes de bienveillance a notre égard, la première a caractère bouddhiste et la deuxième hindouiste). Se qui nous montre l’ouverture d’esprit dans ses villages népalais ou l’on peut respecter deux croyances bien distincte au même endroit.
Se met en place ensuite des ateliers parmi les volontaires pour préparer les différents kits scolaire selon les niveaux (3 niveaux différents) donc 3 kits avec sacs spécifique a chaque fois et pas le même nombre et type de cahier d’exercice (selon les besoins du niveaux) et pour tout le monde 2 crayons, une gomme et un taille crayon.
Sur la fin des préparations les enfants, qui parlent très bien anglais (mieux que moi) m’invitent a les suivre et découvrir le village, les ruines de l’anciennes école et maisons et les bâtiments provisoires fait de taule ou ils vivent et étudient maintenant.
Durant cette découverte ils m’ont pausé énormément de question, pourquoi j’étais ici, je les aidais, d’où je venais…
Ils connaissaient d’ailleurs la France et Paris de nom.
Malgré le peu de moyens qu’ils ont, un enfant dans les plus âgé a insisté pour que j’accepte des bonbons de sa part et m’a demandé si ensuite j’allais rester en tan que prof au village.
Après avoir mangé mes bonbons je mis les emballages dans ma poches et se même enfant a l’œil vif me demanda pourquoi je faisais cela et est se que je trouvai les népalais sales ?
Je pris conscience a se moment la que même dans les petits villages les habitants jettent par terre se qui les encombres. Ayant un grand respect pour la mère nature, je leur expliqua que si on veu que la terre nous respect nous nous devons également de la respecter. L’homme fait parti d’un tout avec celle ci et si nous voulons vivre en symbiose avec celle ci comme le reste de la nature le fais, cela commence ici et maintenant. L’homme n’est pas au dessus de la nature, pour preuve le drame qu’ils ont vécu récemment.
Je montra l’exemple en prenant un sac plastique qui traînai et ramassa autour de moi se qui trainai et leur démontra qu’il était possible de s’amuser si une compétition par exemple était organiser: l’enfant qui ramène le plus de déchet a gagner.
Commence ensuite la distribution ou toute l’équipe de volontaire et les profs ont voulu que je prenne la place d’honneur a la table de distribution ou tout le village était en cercle autour et les enfants étaient appelé un part un du plus jeune au plus âgé par leur nom. Cela ne m’a pas dérangé étant prof de sport en France j’ai l’habitude d’avoir un public devant moi. Je me concentra donc afin d’envoyé le regard et l’intention la plus bienveillante a chaque enfant que j’ai pu avoir devant moi.
Les plus jeunes étaient très intimidé et leur parents les aidaient a prendre le sac. Sûrement du a la foule autour et la présence d’un étranger qui n’est pas courant chez eux. Cela se transforme vite en gros évènement pour eux et en distraction.
Il y’a eu des rires collectifs, des applaudissements, ont ressent la vie et le contentement du peu chez ses habitants.
123 enfants plus tard la distribution fu fini, je n’ai pas vu le temps passé tellement j’étais concentré et dans l’instant présent.
Nous finissons se que je pourrai appelé cette cérémonie par des photos collectives avec également l’affiche de soleil vert et de l’asso de prabesh media chautari ayant comme slogan “let’s smile together”.
Pour finir prabesh et l’un de ses amis prient la parole afin de faire un discours a tout les enfants en népalais que je compris que plus tard. Juste sur le moment j’ai compris qu’il nous remerciai tous un par un en nous nommant (les volontaires) et a chaque fois enfants et habitants nous applaudissaient.
Le discours ensuite consistait a leur expliquer qu’on était ici pour leur redonner espoir, de reconstruire leur maisons, écoles… Leur apporter une distraction sur le moment pour leur faire oublier les événements récent. L’importance de l’éducation pour leur permette plus de liberté par la suite et de possibilité de travail pour faire bouger les choses. Que peut être parmis eux il y aura de futur ingénieur qui construiront par exemple dans leur village natale des maisons renforcées qui ne s’écrouleront plus en cas de séisme. Tous ensemble en se développant dans le bon sens ils pourront aider a élever le Népal vers de meilleur horizons.
Le directeur de l’école nous remercia et fi un discours également. Nous ne pouvions rester plus longtemps car un autre village nous attendais.
Notre départ fu applaudi et une pluie de remerciement nous a été destiné (a base de namaste, mains jointes hauteur de visages). Et des regards de bienveillance et de remerciement très intense également que je leur renvoya. Mon corps et mon esprit fut submerger d’ondes et de vibrations positives.
Je ressenti l’envie et l’exécuta de leur souhaiter “may all be well Happy and peacefull. (Puisse tous être en bonne santé, heureux et en paix)
Panchyakanya higher secondary school, Belkot-6 Upallo Ti Gaun, Nuwakot :
Peut de temps en 4×4 après le premier village, nous voici dans le deuxième beaucoup plus facile d’accès au bord d’une route goudronné ou 124 enfants nous attendent pour la distribution.
Beaucoup de dégât également, l’ancien bâtiment totalement détruit, le nouveau par contre intacte et les enfants étudient dans les bâtiments provisoires avec toit en taule (plus grand espace que le premier village). Accueil des enfants a base de namaste en voitu en voilà, se bousculant pour être devant nous en premier. Et remise également a toute l’équipe d’un autre foulard tibétain en témoignage de respect.
Même procédure que précédemment ou j’aida d’avantage ayant bien compris le fonctionnement de la préparation des kits.
Juste a la fin quand ils écrivaient les noms et prénoms en népalais des enfants sur les sacs je ne pu aider. J’en profita pour aller voir le cours des plus jeunes ou le profs leur demanda de chanter. Se fut un chant très coordonné par l’ensemble des enfants et du prof avec pureté et puissance. Le prof me donna ensuite le relais et je leur enseigna des bases de français (bonjour, merci, comment vas tu ?…) ou il étaient vraiment ravi de répéter tous en cœur.
Commença ensuite la distribution qui se déroula de la même manière que précédemment. Les jeunes enfants étaient moins timide et intrigué ici. Je ne vis pas le temps passé du tout et ne ressenti pas la moindre lassitude même après 124 fois le même geste et namaste car chaque enfant et son regard était unique et profond.
La cérémonie de fin fu également la même, discours de part et d’autre, applaudissent, photos de groupe.
Et ensuite nous fumes invitez a boire un verre de jus de fruit dans la salle des profs avec juste ses derniers et le directeur. Nous ne restame pas plus de 10 minutes la route pour rentrer étaient assé longue.
En repartant c’était très agréable de regarder un peu partout dans le village des enfants gambader partout avec leur nouvelles affaires scolaires sur le dos, et le sourire sur leur visage qui était la d’ailleurs dés notre arrivé.
Sur la route du retour nous nous arrêtons pour manger dans une petite enseigne locale ou je découvrit un autre plat locale a base de viande, de patate au épice et de flocons de riz sec. Nous réprime la route, déposons nos 2 bénévoles au nord de kathmandu et ensuite me fi déposé dans Thamel a mon hôtel du moment. Une bonne nuit m’attend avec plein d’image et de pensée positive pour tout ses habitants et enfants de ses villages avant de revivre une aventure profonde et intense le lendemain. Je peu juste conclure aujourd’hui par j’en suis persuadé maintenant, l’être Humain (avec toute son humanité et sa compassion au fond de lui) existe belle et bien encore au milieu de se chaos ambiant qui règne un peu partout sur terre que sa sois la pauvreté et la détresse par exemple ici ou alors la dégénéréssance et l’égoïsme lié au matérialisme et l’absence de spiritualité (rare) en occident. Un grand sentiment d’espoir en l’humain qui étai déjà réveillé en moi grandi de plus en plus avec se type d’expérience.
