Un voyage au Népal, beaucoup peuvent devenir des amis
- Thomas Gozzoli / au Népal
Durant se périple au Népal, j`y rencontre beaucoup de personne qui pleuvent devenir des amis, des connaissances de voyage ou alors de potentiel contact pour organiser tout type d`aide ou autre…
Parmi ces derniers j`ai rencontre Sushil Panta, un ami d’une amie Isabelle de Paris ( 😉 elle se reconnaitra) qui tien une office de voyage International Gorkha Travel, Z street, Thamel, Katmandhu. Il peut m’aider pour réserver des transports a l’avance et surtout pour un visa pour l’Inde. Je passe régulièrement discuter avec lui dans son office quand je suis sur la capitale, nous échangeons sur nos diverses activités et il s’avère qu’il aide régulièrement son village d’enfance dans le District de Gorkha, en particulier les écoles et les étudiants pour leur garantir un meilleur avenir et depuis le tremblement de terre a offert des tentes pour les maisons les plus touchées du village.
A plusieurs reprise il m’a parle de son projet de m’inviter a venir pendant une semaine avec lui dans son village, et également qu’il comptai faire une donation pour l’école grouper avec d’autre donation venant de diverse connaissances dont Isabelle de Paris, un couple d’étranger Rachel et Hugo (Social Voyage Népal) et moi même rajouter a la dernière minute.
Il m’a également exposer la possibilité d’aider en tan que volontaire l’école et également diverse autre aide dans le village, en contre partie je bénéficierai d’un logement et de nourriture gratuite chez ses parents.
Une fois ma participation au projet donner, Sushil organisa se voyage et revins vers moi plus tard en m’annonçant les dates, du samedi 24 juin 2015 au vendredi 3 juillet 2015.
Entre temps je rencontra une fille d’Afrique du Sud qui est présent au Népal d’avant le tremblement de terre et d’ailleurs était a Pokhara durant celui ci. Elle a effectuer et continu diverse travaux de volontarisme. En discutant de se projet, elle décida de nous suivre dans cette aventure.
Gaikhur Katmaltar, Gorkha District :
Nous voici parti a 7h00 de Katmandu pour Gorkha (environ 5h de 4×4 d’âpres mon amie Sushil) en voiture avec des connaissances a lui qui profite de cette occasion pour retourner eux aussi dans leur village. Nous étions 6 au total.
Apres un arrêt restauration et pas mal de virage au milieu d’un splendide paysage dans des gorges verdoyantes d’arbres et de reliefs au bord d’un grand fleuve nous voici arriver.
Ensuite 1h30 de marche pour arriver au village dans des chemins montagneux.
Accueil au village très chaleureux de toute part et surtout de Bawati (mère de Suzil) et Takbhadur (père de Sushil), journée qui se fini devant un bon Dal Bhat local et un verre de Raksi (alcool locale).
Sushil au passage dans le village se renseignant de la situation précisément et appris que dans le village d’a coter il y avais besoin d’aide. Il organisa dans celui ci une réunion avec le directeur et les profs de l’école de se village pour le lendemain.
Tribeni Secondary School :
Apres une heure de marche nous assistâmes a cette réunion et visitons l’école endommager. Le bilan est qu’il nécessite d’aide financière et/ou de matériel pour la reconstruction d’une école définitive et également matériel scolaire, toute aide étant bonne a prendre. Pour le moment a part la connaissance de Sushil qui aide déjà son village, ils n’ont pas d’aide de l’extérieur pour le moment.
Rajgaree Secondary School :
Le lendemain matin nous voici a l’école du village de sushil a 10h00 pour le commencement des cours et également la cérémonie organiser en l’honneur de la donation. Tout les élèves en ligne dans une discipline militaire par âge chantant une chanson sans pour autant ressentir une forte autorité des professeurs, juste comme une tradition faite naturellement de part et d’autre.
D’âpres les chiffres, les élèves sont au nombre de 384, repartis en 10 classes de 9 a 62 élèves, gérer par 14 professeurs.
Etant les inviter du village Raphaela et moi même prenons place au centre de la table entourer des professeurs, du directeur et de Sushil bien sur (Rachel, Hugo et Isabelle n’étant pas la on une affiche en leur hommage).
Ils nous offrîmes comme a l’accoutumer a chacun un Khada (écharpe blanche tibétaine pour ceux qui suive) et la Tika (trait rouge sur le front) en signe de bienveillance.
Apres cette cérémonie une réunion pu organiser ou le bilan est a l’identique que pour l’autre école, Sushil aide son village et l’école avec ses propres moyens mais cela n’est pas suffisant pour garantir la reconstruction de l’école permanente. Il y a donc ici aussi un réel besoin d’aide extérieur.
Autre précision les professeurs ici ne rassoient pas de salaire du gouvernement, juste de la communauté qui se cotise.
Ensuite Raphaela et moi même commençâmes notre travail de volontaire ici, pour elle s’est cours d’anglais et pour moi s’est cours de français et histoire des monuments français pour les plus grands et animation percutions et harmonica pour les plus petits.
De temps en temps j’assista au cours d’anglais comme un étudiant pour combler les lacunes tres présentes.
Au cours de la semaine, nous avons également eu l’occasion de travailler dans les champs de mais et rasières (la rudesse du travail manuel local s’en fit ressentir vu l’état de nos mains), le rythme est lent et régulier, on sent qu’on a tout notre temps, pas de précipitation. J’ai pu remarquer qu’il étaient souvent inquiet pour notre état physique et mentale qui pourtant se portaient a merveille (les ampoules aux mains ne sont qu’un détail et une évidence de notre faiblesse physique comparer a la leur, chose facilement compréhensible vu la différence de contexte dans lequel les uns et les autres évoluent et grandissent).
Nous avons également manger toute la semaine bien plus qu’il n’en faut (on peut dire qu’on ne risquait pas de mourir de faim).
Sushil du partir au milieu de semaine pour son travail, nous restâmes plus longtemps et eurent l’occasion de manger dans diverses maison (amis, cousins, oncles), visitâmes diverses ferme a poules, vaches, buffles, chèvres.
Petite précisions quasiment tout les habitants ici on leur propre ferme et parcelle de terrain pour subvenir a leur besoin (zone complètement rurale), y compris les professeurs et autre profession.
Les parents de Sushil sont des personnes formidables, toujours a vouloir donner et nous considérer comme leur propre enfant (pour dire son père me réveillai le matin en m’apportant le the au lit en m’appelant ‘my dear son) et m’on également offert le Topi (chapeau local).
La question la plus courante était ‘es tu marier’ et ils étaient surpris d’apprendre que j’ai pu vivre 3 ans en couple en appartement sans pour autant être marier (choc des culture), et en admiration tout en étant très interrogateur au sujet de ma liberté de voyager ou bon me semble sans m’encombrer d’attachement diverse (sentimental et matériel).
Dernière anecdote qui me traverse l’esprit en cet instant présent, j’ai pu converser avec des anciens soldats de Gurkha très fière de leur réputation dans le monde en tan qu’armée réputée (leur symbole l’arme blanche officiel national le ‘khukuri’, sorte de machette inversée)
Une fois de plus une grande expérience a tout les niveaux pour mon amie et moi même. Beaucoup des profs, élèves et les parents de suzil souhaitent garder contact avec nous. Se qui a mon avis se passera.
Un grand merci a Sushil qui a permis tout cela réalisable, un grand merci a tout les habitants de ses 2 villages pour leur humanité et encore plus aux parents de Sushil (Bagawati et Takbhadur) qui nous on donner tout se qu’ils avaient durant notre séjour.
La difficulté ici est quand vous voyager avec pas grand chose matériellement parlant vous avez également pas grand chose a offrir matériellement il en va de soi. Mais se manque est vite combler si vous faite preuve d’une grande humanité, et d’un grand respect et intérêt pour leur vie quotidienne tout en vous mettant dans leur peau.
Pour ma part je me sens népalais depuis le premier jour que j’ai mi les pieds dans se magnifique pays, peut être est se la raison de toute ces portes qui s’ouvre devant moi depuis le début de ses aventures.
Egalement un grand merci a Prabesh de Media Chautari qui m’a permis de pouvoir vous écrire se rapport sur un ordinateur dans de parfaite condition a son office a Katmandu accompagner d’un Dal Bhat offert (et un de plus). Je tiens a souligner qu’au passage il m’a montrer un de ses magnifique reportage sur la vie du haut Mustang a plus de 5000 mètres. Super boulot de ta part si tu arrive a tout traduire et a lire ceci ;).
Et pour finir merci a Isabelle pour ta donation et également le contact avec ton ami Sushil Panta.
A bientôt a toute et a tous pour de nouvelle aventure, direction Pokhara et ses alentours et qui sait sur la route ?
Namaste